Empty Shell on Nostr: J'étais seul hier soir et comme toutes les rares fois où je me retrouve seul => je ...
J'étais seul hier soir et comme toutes les rares fois où je me retrouve seul => je bois comme un trou et je pisse comme une fontaine.
J'ai développé une sorte de maladie mentale depuis quelques années, je ne supporte plus de faire pipi dans les toilettes. Je le fais par obligation sociale et quand toute autre option semble vraiment trop compliquée. Sinon, dés que les circonstances me le permettent, je pisse dehors.
J'avais tellement bu comme un imbécile hier, il devait être à peine 20h et les gens sortaient des restos quand je suis sorti une première fois pour uriner mon trop plein derrière une bagnole.
Je suis ensuite allé me faire une bouffe.
Il y a un parc pas trop loin, où j'ai coutume de me poser pour me taper des kebabs. Le repas terminé, comme à chaque fois, je me lève et pisse contre un arbre juste à côté, au grand dam des promeneurs de chiens qui font pourtant faire pareil à leurs animaux.
Vers 3h, rempli comme une outre, je suis descendu pisser un dernier bol contre un arbre du jardin avant de remonter me coucher. J'avais reçu un avertissement l'an dernier, d'un anonyme de la résidence n'appréciant pas que quelqu'un puisse pisser, même dans l'ombre des heures tardives, dans les espaces verts partagés.
J'avais plutôt bien obtempéré jusqu'à cette nuit, mais à quoi bon chasser le naturel ... Forcément j'ai pris plaisir a violer l'interdit en me soulageant d'une quantité effrontément énorme. Innondant littéralement et interminablement ce pauvre tronc dans une joie parfaitement niaise et puéril en me répétant mentalement un grand "fuck you" à mon dénonciateur secret. Parce qu'en vrai c'est un peu ça qu'il y a de meilleur là dedans. Pisser effrontément à la face du monde, pour le plaisir, parce que c'est bon et parce qu'il peut bien aller se faire voir s'il a quelque chose à redire même contre un plaisir aussi élémentaire.
Les derniers jets crépitent sur l'écorce, je me secoue le gland pour évacuer les dernières gouttes, je remonte ma braguette et je quitte les lieux du crime. Sale et vilain qui ne se lave pas les mains.
J'ai développé une sorte de maladie mentale depuis quelques années, je ne supporte plus de faire pipi dans les toilettes. Je le fais par obligation sociale et quand toute autre option semble vraiment trop compliquée. Sinon, dés que les circonstances me le permettent, je pisse dehors.
J'avais tellement bu comme un imbécile hier, il devait être à peine 20h et les gens sortaient des restos quand je suis sorti une première fois pour uriner mon trop plein derrière une bagnole.
Je suis ensuite allé me faire une bouffe.
Il y a un parc pas trop loin, où j'ai coutume de me poser pour me taper des kebabs. Le repas terminé, comme à chaque fois, je me lève et pisse contre un arbre juste à côté, au grand dam des promeneurs de chiens qui font pourtant faire pareil à leurs animaux.
Vers 3h, rempli comme une outre, je suis descendu pisser un dernier bol contre un arbre du jardin avant de remonter me coucher. J'avais reçu un avertissement l'an dernier, d'un anonyme de la résidence n'appréciant pas que quelqu'un puisse pisser, même dans l'ombre des heures tardives, dans les espaces verts partagés.
J'avais plutôt bien obtempéré jusqu'à cette nuit, mais à quoi bon chasser le naturel ... Forcément j'ai pris plaisir a violer l'interdit en me soulageant d'une quantité effrontément énorme. Innondant littéralement et interminablement ce pauvre tronc dans une joie parfaitement niaise et puéril en me répétant mentalement un grand "fuck you" à mon dénonciateur secret. Parce qu'en vrai c'est un peu ça qu'il y a de meilleur là dedans. Pisser effrontément à la face du monde, pour le plaisir, parce que c'est bon et parce qu'il peut bien aller se faire voir s'il a quelque chose à redire même contre un plaisir aussi élémentaire.
Les derniers jets crépitent sur l'écorce, je me secoue le gland pour évacuer les dernières gouttes, je remonte ma braguette et je quitte les lieux du crime. Sale et vilain qui ne se lave pas les mains.