Alexis Roussel on Nostr: De leur côté, les autorités ont réagi immédiatement, qualifiant cette attaque ...
De leur côté, les autorités ont réagi immédiatement, qualifiant cette attaque d’attentat terroriste perpétré par des individus dont l’objectif est de bloquer l’action de l’État dans le but d’appliquer leur idéologie anarchiste. Le président du Conseil d’État, également en charge de la Sécurité, Roc Maudit, a fait part de sa détermination à traduire les auteurs de ce vandalisme en justice. « Nous trouverons ces voyous et nous ferons en sorte que leurs attentats soient sanctionnés à la hauteur du préjudice qu’ils ont infligé à la société », a-t-il déclaré. Le manque à gagner de la vente de ces données est considérable. Le produit de cette opération aurait dû notamment financer le remplacement du système de vidéo-surveillance de l’État qui ne répond plus aux normes. Selon la dernière loi sur le financement de la santé, la vidéo-surveillance doit pouvoir être utilisée par les sociétés de recouvrement afin d’y détecter les mauvais payeurs grâce à la reconnaissance faciale. L’État encourt de lourdes sanctions s’il ne remplit pas ses obligations.
L’attaque de l’Administration fiscale cantonale est la deuxième du genre à Genève. Il y a un mois, le mouvement du Grand Effacement s’en était pris aux serveurs de l’Office des poursuites, supprimant l’ensemble des données sauvegardées jusqu’à ce jour. Une perte inestimable, avaient alors jugé les autorités et les observateurs. En détruisant cette fois-ci les disques durs, le Grand Effacement s’est assuré qu’aucune donnée privée ne puisse plus être détenue ni vendue par les autorités fiscales. La conséquence de cette démarche est encore difficile à évaluer. Logiquement, l’administration exigera à nouveau des éléments de preuve aux contribuables genevois lorsqu’ils devront s’acquitter de leurs impôts cantonaux. De cette façon, une nouvelle base de données pourra être progressivement recréée. Mais les activistes qui s’opposent à la détention de données privées par des tiers ne l’entendent pas de cette oreille et menacent déjà de recommencer.
L’attaque de l’Administration fiscale cantonale est la deuxième du genre à Genève. Il y a un mois, le mouvement du Grand Effacement s’en était pris aux serveurs de l’Office des poursuites, supprimant l’ensemble des données sauvegardées jusqu’à ce jour. Une perte inestimable, avaient alors jugé les autorités et les observateurs. En détruisant cette fois-ci les disques durs, le Grand Effacement s’est assuré qu’aucune donnée privée ne puisse plus être détenue ni vendue par les autorités fiscales. La conséquence de cette démarche est encore difficile à évaluer. Logiquement, l’administration exigera à nouveau des éléments de preuve aux contribuables genevois lorsqu’ils devront s’acquitter de leurs impôts cantonaux. De cette façon, une nouvelle base de données pourra être progressivement recréée. Mais les activistes qui s’opposent à la détention de données privées par des tiers ne l’entendent pas de cette oreille et menacent déjà de recommencer.