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Le Temps (Suisse)
Désintérêt pour la finance durable: «Il est important de cibler les 50% d’indécis»
<img src="https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/566578ea-a9a3-4c9d-a987-3a46dda2d5ad/medium"; /><p>Une petite minorité de clients de la gestion de fortune se dit intéressée par les investissements responsables. Pour quelles raisons et comment améliorer les chiffres</p><p>Seuls 10 à 15% des clients de la gestion de fortune souhaitent que leurs avoirs soient gérés de façon durable, nous révélait le patron de l’UBP, Guy de Picciotto, dans <a href="https://www.letemps.ch/economie/finance/guy-de-picciotto-seuls-10-a-15-des-clients-veulent-du-durable"; rel="nofollow noopener" target="_blank">une interview</a> du 25 mars. Ce chiffre valable pour l’ensemble des banques s’explique, selon nos interlocuteurs, par des questions de formations des banquiers ou de recherche de performance, si bien que la finance durable semble se trouver dans un creux passager. Comment en sortir?</p><p>«Plus le conseiller est convaincu par le durable, plus le pourcentage de clients motivés est élevé, la formation des employés est donc primordiale et c’est un effort très important pour les banques», avance Olivier Calloud. Le directeur général de Piguet Galland confirme ce chiffre de 10 à 15%, qui correspond à la proportion de clients affichant une forte conviction ESG chez Piguet Galland lors du recueil de leurs préférences en matière d’environnement, d’aspects sociaux et de gouvernance. Comment faire augmenter ce pourcentage?</p><a href="/articles/desinteret-pour-la-finance-durable-il-est-important-de-cibler-les-50-d-indecis">Voir plus</a>
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Désintérêt pour la finance durable: «Il est important de cibler les 50% d’indécis»
<img src="https://letemps-17455.kxcdn.com/photos/566578ea-a9a3-4c9d-a987-3a46dda2d5ad/medium"; /><p>Une petite minorité de clients de la gestion de fortune se dit intéressée par les investissements responsables. Pour quelles raisons et comment améliorer les chiffres</p><p>Seuls 10 à 15% des clients de la gestion de fortune souhaitent que leurs avoirs soient gérés de façon durable, nous révélait le patron de l’UBP, Guy de Picciotto, dans <a href="https://www.letemps.ch/economie/finance/guy-de-picciotto-seuls-10-a-15-des-clients-veulent-du-durable"; rel="nofollow noopener" target="_blank">une interview</a> du 25 mars. Ce chiffre valable pour l’ensemble des banques s’explique, selon nos interlocuteurs, par des questions de formations des banquiers ou de recherche de performance, si bien que la finance durable semble se trouver dans un creux passager. Comment en sortir?</p><p>«Plus le conseiller est convaincu par le durable, plus le pourcentage de clients motivés est élevé, la formation des employés est donc primordiale et c’est un effort très important pour les banques», avance Olivier Calloud. Le directeur général de Piguet Galland confirme ce chiffre de 10 à 15%, qui correspond à la proportion de clients affichant une forte conviction ESG chez Piguet Galland lors du recueil de leurs préférences en matière d’environnement, d’aspects sociaux et de gouvernance. Comment faire augmenter ce pourcentage?</p><a href="/articles/desinteret-pour-la-finance-durable-il-est-important-de-cibler-les-50-d-indecis">Voir plus</a>
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