Stéphane Bortzmeyer on Nostr: Ce qui est dingue, dans ce jugement canadien, est qu'une entreprise a tenté de ...
Ce qui est dingue, dans ce jugement canadien, est qu'une entreprise a tenté de prétendre que les informations données par son chatbot n'étaient pas contractuelles. Heureusement, le juge n'a pas suivi https://www.canlii.org/en/bc/bccrt/doc/2024/2024bccrt149/2024bccrt149.html
Mais cela ouvre plein de possibilités. Les chatbots étant désormais souvent basés sur un LLM qui hallucine, ils diront souvent n'importe quoi, et, si on a pensé, comme le plaignant, à faire une copie d'écran, on pourra demander à l'entreprise de tenir parole.
Mais cela ouvre plein de possibilités. Les chatbots étant désormais souvent basés sur un LLM qui hallucine, ils diront souvent n'importe quoi, et, si on a pensé, comme le plaignant, à faire une copie d'écran, on pourra demander à l'entreprise de tenir parole.