Johann 🜛 on Nostr: npub10urgk…9ndl9 Je suis assez d'accord avec toi. Pour moi, ça résonne comme une ...
npub10urgkkqdu4xrxa3shuhejwdg3pxlfk4se74suxtpvmm4849htf4s69ndl9 (npub10ur…ndl9) Je suis assez d'accord avec toi. Pour moi, ça résonne comme une minimisation (alors que ça ne l'est pas forcément de la part de la personne qui répond) – quand on exprime un trauma, je suis plutôt partisan (t'as vu comme je suis tranché, ouhlala !) de laisser la personne qui s'exprime décider par les mots qu'ielle emploie si l'ouverture est laissée pour les autres personnes.
Avant que je quitte Twitter, ça avait été un gros débat d'ailleurs, mais les réponses les plus intéressantes venaient de l'autre camp, de celleux qui disaient que c'était au contraire une façon de pouvoir aborder son problème d'une autre manière, de moins se sentir seul·e, etc.
Et puis : on a chacun ses marottes, ses réactions épidermiques, ses neuroatypismes parfois¹.
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¹ Je déteste par exemple les toots d'un mot avec « soutien » et consorts, j'ai l'impression d'une commisération mièvre et d'un « vu et s'en tape » – heureusement tout le monde n'a pas la même réaction !
Avant que je quitte Twitter, ça avait été un gros débat d'ailleurs, mais les réponses les plus intéressantes venaient de l'autre camp, de celleux qui disaient que c'était au contraire une façon de pouvoir aborder son problème d'une autre manière, de moins se sentir seul·e, etc.
Et puis : on a chacun ses marottes, ses réactions épidermiques, ses neuroatypismes parfois¹.
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¹ Je déteste par exemple les toots d'un mot avec « soutien » et consorts, j'ai l'impression d'une commisération mièvre et d'un « vu et s'en tape » – heureusement tout le monde n'a pas la même réaction !